
Methode
O.D.E.A.
Ontologie, Déontologie, Ethique et altérité

Avoir le "Principe d'Humanité" et la "Démocratie": chevillés au corps !
« La folie, c'est se comporter de la même manière et s'attendre à un résultat différent »
Albert Einstein
L'ODEA interroge, non pas en termes de « rationalisme », de "productivisme", de « technocratisme » ou encore de « scientisme », voire d’« économisme » ou plutôt
d' "affairisme"; mais tout simplement en termes de "rationalité", de "technicité", de "scienticité", d'économie au sens complexe du terme; ceci dans le but de satisfaire l'Humanité au lieu de l'exploiter ! Satisfaire en fonction du plus grand dénominateur commun au lieu du plus petit !
Il semblerait d'évidence que L’Humanité, son "Principe", soit un concept qui se perd dans cette civilisation moderne au modernisme « paroxysme » de modernité et plus simple modernité. Il semblerait même que sa fin soit bel et bien programmée
par le "Transhumanisme" et son corollaire le "technoscientisme" !
L' ODEA est une autre approche qui relève d'une logique qui se base sur la "complexité", ce que sont les choses, et non sur le "simplisme"; un "simplisme", qui, en aucune façon, ne peut faire fonctionner les choses, du moins pas en terme d'entendement, de bonne intelligence ; mais qui permet de largement
de les manipuler et les abuser!
L'ODEA interroge en termes d’Ontologie, de Déontologie, d’Ethique et d’Altérité !
Il nous faut trouver une "Ontologie", qui ne relève pas d'un onanisme philosophique intellectuel, mais qui soit pratique et utile pour tout un chacun à la fois individuellement et collectivement. L'individuel et le collectif étant les deux faces d'une seule et même médaille, tel un Janus qu'est un être humain !
Partons du principe que :
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L’Ontologie pose la question de l' "Etant" et pas seulement de l'Être qui est dans l'étant et non dans le néant ; "onto" étant le participe présent du verbe "Être".
Elle ne pose donc pas seulement la question de l'Être, mais avant tout celui de l'Etant, du "tel-quel" de la "Nature" qui était là bien avant l'Être, et auquel ou à laquelle nous appartenons ! Un "tel-quel", qui, étymologiquement, de cette "étymologie" gréco-latine d'où nous viennent les mots, est importante si nous voulons garder le sens correct des mots; un "tel-quel" qui vient du latin "talis qualis", qui a donné "qualitas" puis "qualité" : la qualité de ce qui est !
Une qualité de l'étant qui ne doit jamais être niée en matière de "SAVOIR" !
De ce qui est fondamental !
L'Ontologie sert à "comprendre" fondamentalement les choses et à les définir en terme de "tel-quel" immuable et non en terme de "tel-que l'on voudrait " ou du "comme si que " si chère au positivisme et à son corollaire l'utilitarisme qui règlent une mort programmée de l'humanité !
L'ontologie pose la question la plus fondamentale qui soit : celle du pourquoi ? Vous savez, cette question lancinante et même fatigante que posent les jeunes enfants mais qu'ils oublient rapidement de poser car l'éducation, à l'école mais aussi familiale, ne supporte pas cette question fondamentale si dérangeante car elle somme de s'expliquer !
Une question difficile, car elle peut être sans réponse au plan le plus fondamental
qui soit, comme le pourquoi de la Nature. Un pourquoi, sur ce sujet, qui laisse la porte ouverte à tous les fantasmes souvent poussés à la divagation .... mais un pourquoi, qui au plan "métaphysique humain"; sauf à ne pas vouloir réellement éclairer les choses voire nier l'Humain doit trouver des réponses.
Inspirons-nous de Jean-Jacques Rousseau qui évoquait "Un état de nature qui n'existe plus et, qui peut-être n'a jamais existé, ou n'existera jamais et, pourtant
il est nécessaire d'avoir sur lui des idées justes (idées conceptuelles) afin de pouvoir bien juger notre état présent".
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La Déontologie pose la question du « comment »?
La déontologie est bien moins problématique car elle ne peut rester sans réponse ! Encore faut-il trouver les bonnes réponses, faire en sorte que les réponse ou solutions des uns ne soient pas les problèmes des autres comme cela se passe aujourd'hui !
Il convient de ne jamais déconnecter le comment du pourquoi !
Un « comment », qui "déontologiquement", sauf à enlever tout sens aux choses,
tout bon sens, doit être en adéquation avec la question Ontologique » du « pourquoi ». Il y a même là un "devoir de", un devoir d'adéquation entre l'Onto et le Déonto !
La logique dichotomique, sans nul doute vieille résurgence de l'antédiluvienne lutte entre le bien et le mal ; cette logique dichotomique, qu'adore la religion et aussi la science car elle permet de manipuler : est totalement à proscrire !
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Les deux autres éléments de l'ODEA , celui d’« Ethique » et celui d’ « Altérité » étant les réponses et les conditions « sine qua non », donc de finalité, pour mettre en œuvre des moyens qui soient en adéquation avec les questionnements précédent d’Ontologie et de déontologie !
Des éléments indispensables pour vivre en société, les uns avec les autres et non les uns contre les autres comme nous y incite cet "individualisme" américano-anglo-saxon, qui, culturellement confine à un "chacun pour soi" qui implique de posséder une arme pour défendre ce chacun pour soi ! Ou encore l'individualisme méthodologie de la science qui confine à la chose pour la chose et à une chose imbécile portée à son paroxysme.
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L'Ethique c'est ne pas faire aux autres ce que l'on ne voudrait pas
que les autres nous fassent !
L'Ethique est en relation avec la "Liberté": notre Liberté et celle des autres !
Une Liberté, qui, forcément, "sociétalement", est relative et non absolue !
Relative donc, mais ce n'est pas une raison pour "contraindre", tomber dans une "liberté contrainte" au nom d'une "solidarité sanitaire" totalement imbécile basée sur la "peur d'un virus". Ce n'est pas obligatoire : non réellement ce n'est pas obligatoire ! Mais on saura vous contraindre par des manoeuvres dilatoires : par tout moyen !
En même temps il convient de ne pas tout accepter, d'avoir à l'esprit que l'Enfer,
celui proposé par des humains cupides et avides de pouvoir ; que cet enfer est toujours pavé de bonnes intentions ! Ils invoqueront la "solidarité" pour faire passé la pilule, ou plus exactement l' "injection génique " ; alors que les même se moquent totalement de la solidarité sociétale ou économique !
Ainsi pour faire accepter la guerre au peuple il sera toujours invoqué des raisons faisant appel au dogmatisme religieux ou politique; pourtant il n'y a jamais de bonne raison à la guerre ! Il ne faut pas oublier qu'il existe aussi des provocateurs, et de première, comme dans une cour d'école, et des provoqués qui réagissent mal et sont considérés être les seuls coupables : il ne faut pas répondre aux provocations ! Alors on se laisse faire !
Un problème qui devrait pouvoir se résoudre au 21 è siècle devant des instances internationale, mais à la conditions expresse qu'elle ne soit pas dévoyées : totalement prévariquées ! Le problème actuellement, c'est que ces Institutions Internationales sont sous acculturation atlantistes : elles sont encore dans la guerre froide ! Elles ne sont plus partisanes de la paix et dans des idées dogmatiques ou dichotomique que nous aurions dû avoir dépassé depuis belle lurette !
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L'Altérité relève du goût de l'autre, des autres ; c'est le goût
de l' "Humanité" !
Qu'est-ce qui fait l'humain et l'Humanité? C''est avant tout notre capacité d’empathie, d’imagination, d’auto-analyse, d’esprit critique. C''est le désir de vivre en société car l'Humain est un animal sociable !
"On dit que l'Humain est un animal sociable.
Sur ce pied-là, il me paraît que le Français est plus humain qu'un autre,
c'est l'humain par excellence; car il semble fait uniquement pour la société ".
MONTESQUIEU Lettres Persannes (1721)
La sociabilité, en France, a été l'un des traits caractéristiques
de ce XVIII siècle dit des lumières; ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui !
Assez généralement !
Ces concepts d'Ontologie de Déontologie, d'Ethique et d'Altérité ne posent pas de problème chez les gens du commun, chez Monsieur et Madame Toulemonde, qui vivent ensembles et qui ont tout intérêt à cette sociabilité.
Ils font cela quasi naturellement, sociétalement, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir !
« On a tout avec de l’argent, hormis des mœurs et des citoyens. »
Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778),
Discours sur les sciences et les arts (1750)
« La feinte charité du riche n’est en lui qu’un luxe de plus ;
il nourrit les pauvres comme des chiens et des chevaux. »
Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778),
Correspondance, à M. Moulton
Il n'en va donc pas de même chez les "Elites", et quelles qu'elles soient, politiques, technocratiques, scientifiques, à visée avant tout ploutocratique; qui trouve, là, dans cette interrogation philosophante, cette nécessité de réfléchir avant d'agir, un vrai danger d'émancipation humaine ! Une telle chose, qui, assurément ne peut que contrarier leur besoin de domination par tout moyen à leur convenance, d'une société qu'ils entendent bien exploiter : parfaitement exploiter techniquement !
Ces concepts hautement philosophiques,
d'Ontologie, de Déontologie, d'Ethique et d'Altérité, sont un sérieux obstacle
à leurs tenants et aboutissants essentiellement ploutocratiques,
vers une " grande réinitialisation" pour le "transhumanisme" !
Avons-nous encore le droit de nous interroger
sans passer pour un complotiste ?
Pourquoi ? Comment ? Pour qui ? Pour quoi ?
Ces questions essentielles, voire même fondamentales,
qui doivent toujours être posée, sauf à souffrir d'un manque d'intelligence,
au sens de l'entendement : elles doivent toujours être posées conjointement !
Cette forme d'interrogation, du "comment sans la pourquoi",
si chère au positivisme et à son corollaire l'utilitarisme,
pratiquée depuis quatre décennies et qui nous envoie droit
vers le transhumanisme et la fin du principe d'Humanité: la fin de l'Humanité;
cette forme de questionnement relève même, en terme de "raison raisonnable ",
d'une véritable imposture intellectuelle !
Des différentes Chartes et autres déclarations de principe !
1789 : déclaration des droits de l'homme et du citoyen le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale française. Elle contient 17 articles.
1948 : déclaration universelle des droits de l'homme par l'Assemblée générale des Nations-unies, résolution 217 A (III) du 10 décembre 1948. Elle contient 30 articles et pas de subdivision. C'est une déclaration solennelle.
1950 : convention européenne des droits de l'homme signée le 4 novembre 1950 à Rome par les gouvernements membres du Conseil de l'Europe, suivis par la suite de nombreux protocoles additionnels. Entrée en vigueur de la convention le 3 septembre 1953. Référence explicite à la déclaration de 1948 : la convention est présentée comme étant les premières mesures prises dans l'optique d'assurer la garantie collective de certains des droits de la déclaration universelle. Elle contient un préambule et 66 articles répartis sur 5 titres (pas d'intitulé). Elle est consacrée spécifiquement à la garantie des droits civils et politiques et des libertés.
1961 : la charte sociale européenne du Conseil de l'Europe signée le 18 octobre 1961 à Turin. Réalisée en vue de poursuivre l'œuvre entamée avec la convention européenne de 1950 mais pour garantir spécifiquement les droits sociaux, elle consacre ainsi l'idée que la garantie des droits sociaux s'inscrit bien dans l'œuvre de réalisation des droits de l'homme. Entrée en vigueur en 1965. Elle est constituée d'un préambule et de 38 articles (intitulés) répartis sur 4 parties (pas d'intitulé par partie), une première partie pointant les 19 droits sociaux primordiaux à garantir. Une Charte révisée a été adoptée en 1996 et est entrée en vigueur en 1999 : elle énonce désormais 31 droits sociaux primordiaux à garantir.
Rendre effectif ces droit, cela suppose l'engagement des États à mener une politique sociale. Il s'agit d'un traité international entre États et le respect des engagements est contrôlé par un système interne liant les États. Mais il n'y a pas de possibilité de recours individuel devant une juridiction internationale. Depuis la dernière révision, on a ajouté une procédure de réclamation collective. Mais ce n'est pas une simple déclaration solennelle, il y a une exigence pour que les gouvernements adoptent des actions déterminées en vue de rendre ces droits réellement effectifs.
1989 : la charte communautaire des droits sociaux fondamentaux des travailleurs, adoptée par 11 des 12 États membres des Communautés européennes le 9 décembre 1989 à Strasbourg. Elle est présentée comme une déclaration à mettre en œuvre toutes les possibilités de réalisation des droits sociaux contenues dans l'ordre interne communautaire défini par le Traité (tout l'Acte unique mais rien que l'Acte unique). Elle ne fait que "s'inspirer" des conventions de l'OIT et de la charte sociale de Turin. Elle comprend un préambule et deux titres qui sont ainsi définis (I : droits sociaux fondamentaux des travailleurs ; II : mise en œuvre de la charte), elle relève 12 "éléments" qui sembleraient être des droits (mais que dire de la mise sur un même pied des titres "Égalité de traitement entre les hommes et les femmes" et "Personnes âgées". Elle comporte 30 points différents qui pourraient être vus comme des articles (mais ne sont pas ainsi dénommés).
2000 : la charte des droits fondamentaux de l'Union européenne proclamée comme déclaration solennelle par le Conseil européen de Nice les 6 et 7 décembre 2000.
Outre son préambule, elle est divisée en 7 chapitres distincts qui sont intitulés. De façon implicite, découle ainsi une sorte de hiérarchisation entre intitulés suivant l'ordre d'énonciation (Dignité, Libertés, Égalité, Solidarité, Citoyenneté, Justice, Dispositions générales). 54 articles sont répartis en ces 7 titres.
Depuis une bonne décennie tous ces ploutocrates et leurs servilse "Politichiens " se sentent pousser des ailes.
En lisant tous ces texte, ces différentes "Chartes", il y a de quoi se plier en deux, pas de rire… mais de douleurs tellement la réalité de ce que nous vivons ; tellement le contraste est saisissant entre ce qui st écrit dans les textes et la réalité de ce que nous vivons !
Le sophisme et le cynisme sont au zénith, et jamais l'arrogance n'a été aussi flagrante !
Ils savent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent et avec la bénédiction des politiciens de tout bord qui sont quasi tous mondialistes !
L’Union-Européenne, désormais à vocation mondialiste (c’est ce que montre la Commissions Européenne qui se moque des libertés en réalité... voire ce qu'elle prépare en matière de pass sanitaire ), ne connait plus les peuples ni les Nations car il faut les détruire pour précisément imposer ce « mondialisme » dont elle se revendique qui ne relève de rien d’autre que
du fascisme et du nazisme !