top of page

  Avoir la "Démocratie" et le "Principe d'Humanité " chevillés au corps !

  Pourquoi l'ODEA ? C'est une nécessité ! 

Avec l'ODEA, nous tenons, là,

les quatre piliers fondamentaux

du "Principe d'humanité" !

 

               L'ODEA interroge, non pas en termes de « rationalisme », de "productivisme", de « technocratisme » ou encore de « scientisme », voire  d’« économisme », 

 d' "affairisme"; mais tout simplement en termes de "rationalité", de "technicité", de "scienticité", d'économie au sens complexe du terme; ceci dans le but de satisfaire l'Humanité au lieu de l'exploiter ! Satisfaire en fonction du plus grand dénominateur commun qu'est l'HUMANITÉ au lieu du plus petit qu'est le seul profit ! 

​

            Il semblerait d'évidence que L’Humanité, son "Principe", soit un concept qui

se perd dans cette civilisation moderne au modernisme « paroxysme » de modernité

et plus simple modernité. Il semblerait même que sa fin soit bel et bien programmée

par le "Transhumanisme" et son corollaire le "technoscientisme" !   

       

         Monsieur Descartes et tous les cartésianistes,

 ce n'est pas le simplisme qui mène le monde,

notre monde, nos affaires, notre Humanité ,

pas même l'univers ou la matière :

c'est la complexité !

 

        L' ODEA est une approche qui relève d'une logique qui se base sur la "complexité",

ce que sont les choses, et non sur le "simplisme"; un "simplisme", qui, en aucune façon, ne peut faire fonctionner les choses, du moins pas en terme d'entendement, de bonne intelligence ; par contre ce simplisme permet largement de les manipuler et les abuser :

                                         de diviser pour règner ! 

       

       L'ODEA interroge en termes d’Ontologie, de Déontologie, d’Ethique et d’Altérité !

 

      Il nous faut trouver une "Ontologie", qui ne relève pas d'un onanisme philosophique intellectuel, mais qui soit pratique et utile pour tout un chacun à la fois individuellement

et collectivement. L'individuel et le collectif étant les deux faces d'une seule et même médaille, tel un Janus qu'est un être humain ! 

 

 Partons du principe que : 

​

  • L’Ontologie pose la question de l' "Etant": il faut savoir que "onto" est le participe présent de "Etre" et ce qtui donne "Etant" et non "Etre"  et ceci change tout ! 

 

          L'ontologie, contrairement à ce qui est le pus souvent exprimé, ne pose donc pas la question de l'Être, mais avant tout celui de l'Etant, du "tel-quel", de la "Nature" qui était

là bien avant l'Être humainUne nature et des états de nature, à laquelle et auxquels

l'Etre humains appartient !  Un "tel-quel", qui, étymologiquement, de cette "étymologie" gréco-latine d'où nous viennent nos mots, ceux que nous utilisons. Ceci est importante si nous voulons garder le sens correct aux mots ; un "tel-quel" qui vient du latin "talis qualis",

qui a donné "qualitas" puis "qualité" : la qualité de ce qui est

 

Une qualité de l'étant qui ne doit jamais être niée en matière de "SAVOIR" ! 

 

                                                De ce qui est fondamental ! 

  

        L'Ontologie sert à "comprendre" fondamentalement les choses et à les définir en

terme de "tel-quel" immuable et non en terme de "tel-que l'on voudrait " ou du "comme

si que "  qui change sans cesse au gré des fantaisies de ploutcrates affairistes !

​

       L'ontologie pose la question la plus fondamentale qui soit : celle du pourquoi ? Vous savez, cette question lancinante et même fatigante que posent les jeunes enfants mais

qu'ils oublient rapidement de poser car l'éducation, à l'école mais aussi familiale, ne supporte pas cette question fondamentale si dérangeante car elle somme de s'expliquer !

​

       Une question difficile, car elle peut être sans réponse au plan le plus fondamental

qui soit, comme le pourquoi de la Nature. Un pourquoi, sur ce sujet, qui laisse la porte ouverte à tous les fantasmes souvent poussés à la divagation ....  mais un pourquoi, qui

  au plan "métaphysique humain"; sauf à ne pas vouloir réellement éclairer les choses

voire nier l'Humain doit trouver des réponses.  

​

        Inspirons-nous de Jean-Jacques Rousseau  qui évoquait "Un état de nature qui n'existe plus et, qui peut-être n'a jamais existé, ou n'existera jamais et, pourtant

il est nécessaire d'avoir sur lui des idées justes (idées conceptuelles) afin de pouvoir bien juger notre état présent".    

​

 

​

  •  La Déontologie pose la question du « comment »?

​

       La déontologie est bien  moins problématique car elle ne peut rester sans réponse ! Encore faut-il trouver les bonnes réponses, faire en sorte que les réponse ou solutions

des uns ne soient pas les problèmes des autres comme cela se passe aujourd'hui ! 

​

           Il convient de ne jamais déconnecter le comment du pourquoi !  

 

        Un « comment », qui "déontologiquement", sauf à enlever tout sens aux choses,

tout bon sens, doit être en adéquation avec la question Ontologique » du « pourquoi ».

Il y a même là un "devoir de", un devoir d'adéquation entre l'Onto et le Déonto !

 

         La logique dichotomique, sans nul doute vieille résurgence de l'antédiluvienne lutte entre le bien et le mal ; cette logique dichotomique, qu'adore la religion et aussi la science car elle permet de manipuler : est totalement à proscrire ! 

​

                                            *******************************

​

        Les deux autres éléments de l'ODEA , celui d’« Ethique »

et celui d’ « Altérité » étant les réponses et les  conditions « sine qua non »,

donc de finalité,  pour mettre en œuvre des moyens qui soient en adéquation avec les questionnements précédent d’Ontologie et de déontologie !

 

       Des éléments indispensables pour vivre en société, les uns avec les autres et non

les uns contre les autres comme nous y incite cet "individualisme" américano-anglo-saxon, qui, culturellement confine à un "chacun pour soi" qui implique de posséder une arme

pour défendre ce chacun pour soi ! Ou encore l'individualisme méthodologie de la science qui confine à la chose pour la chose et à une chose imbécile portée à son paroxysme.

 

 

  •   L'Ethique c'est ne pas faire aux autres ce que l'on ne voudrait pas

que les autres nous fassent !

 

         L'Ethique est en relation avec la "Liberté": notre Liberté et celle des autres ! 

       Une Liberté, qui, forcément, "sociétalement", est relative et non absolue !

 

         Relative donc, mais ce  n'est pas une raison pour "contraindre", pour tomber dans une "liberté contrainte" comme on nous la prépare avec le Crédit social à la chinoise, ceci,  au nom d'une  "solidarité  sanitaire" totalement imbécile basée sur la "peur des "virus".

On vous dit que ce n'est pas obligatoire : non réellement ce n'est pas obligatoire ! 

Mais ils sauront vous ,ontraindre par des manoeuvres  dilatoires : par tout moyen ! 

 

       En même temps il convient de ne pas tout accepter, d'avoir à l'esprit que l'Enfer,

celui proposé par des humains cupides et avides de pouvoir ; que cet enfer est toujours

pavé de bonnes intentions ! Ils invoqueront la "solidarité" pour faire passé la pilule,

ou plus exactement l' "injection génique " ; alors que les même se moquent totalement

de la solidarité sociétale ou économique ! 

 

       Ainsi pour faire accepter la guerre au peuple il sera toujours invoqué des raisons faisant appel au dogmatisme religieux, au bien ou au mal, au capitalisme ou au communisme, à l'Ouest contre l'Est , le camp du bien contre le camp du mal  ; pourtant

il n'y a jamais de bonne raison à la guerre ! Il ne faut pas oublier qu'il existe aussi des provocateurs, et de première, comme dans une cour d'école, et des provoqués qui réagissent mal et sont considérés être les seuls coupables : il ne faut pas répondre aux provocations !                               

                                                            Alors on se laisse faire ! 

 

 Un problème qui devrait pouvoir se résoudre au 21 è siècle devant des instances internationale, mais à la conditions expresse qu'elle ne soit pas dévoyées : totalement prévariquées ! Le problème actuellement, c'est que ces Institutions Internationales sont

sous acculturation atlantistes : elles sont encore dans la guerre froide ! Elles ne sont plus partisanes de la paix et dans des idées dogmatiques ou dichotomique que nous aurions

dû avoir dépassé depuis belle lurette !

 

​

  •   L'Altérité relève du goût de l'autre, des autres ; c'est le goût

de l' "Humanité" !    

 

             Qu'est-ce qui fait l'humain et l'Humanité? C''est avant tout notre capacité d’empathie, d’imagination, d’auto-analyse, d’esprit critique. C''est le désir de vivre

en société car l'Humain est un animal sociable ! 

​

"On dit que l'Humain est un animal sociable.

Sur ce pied-là, il me paraît que le Français est plus humain qu'un autre,

c'est l'humain par excellence; car il semble fait uniquement pour la société "

                                                    MONTESQUIEU  Lettres Persannes (1721) 

​

      La sociabilité, en France, a été l'un des traits caractéristiques

de ce XVIII siècle  dit des lumières; ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui ! 

 Assez généralement ! 

          Ces concepts d'Ontologie de Déontologie, d'Ethique et d'Altérité ne posent pas

de problème chez les gens du commun, chez Monsieur et Madame Toulemonde, qui vivent ensembles et qui ont tout intérêt à cette sociabilité.

Ils font cela quasi naturellement, sociétalement, comme Monsieur Jourdain faisait

de la prose sans le savoir !

​

               « On a tout avec de l’argent, hormis des mœurs et des citoyens. »

                                                                      Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778), 

                                                                      Discours sur les sciences et les arts (1750)

​

« La feinte charité du riche n’est en lui qu’un luxe de plus ;

il nourrit les pauvres comme des chiens et des chevaux. »

                                  Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778),

                                             Correspondance, à M. Moulton

       

        Il n'en va donc pas de même chez les "Elites", et quelles qu'elles soient, politiques, technocratiques, scientifiques, à visée avant tout ploutocratique; qui trouve, là, dans

cette interrogation philosophante, cette nécessité de réfléchir avant d'agir, un vrai danger d'émancipation humaine ! Une telle chose, qui, assurément ne peut  que contrarier leur besoin de domination par tout moyen à leur convenance, d'une société qu'ils entendent bien exploiter : parfaitement exploiter techniquement !

​

            Ces concepts hautement philosophiques,

d'Ontologie, de Déontologie, d'Ethique et d'Altérité, sont un sérieux obstacle

 à leurs tenants et aboutissants essentiellement ploutocratiques, 

vers une " grande réinitialisation" pour le  "transhumanisme"  

​

  Avons-nous encore le droit de nous interroger
sans passer pour un complotiste ?   

​

Pourquoi ? Comment ? Pour qui ? Pour quoi ?

​

Ces questions essentielles, voire même fondamentales, 

qui doivent toujours être posée, sauf à souffrir d'un manque d'intelligence,

au sens de l'entendement : elles doivent toujours être posées conjointement ! 

​

 Cette forme d'interrogation, du "comment sans la pourquoi",

si chère au positivisme et à son corollaire l'utilitarisme, 

pratiquée depuis quatre décennies et qui nous envoie droit

vers le transhumanisme et la fin du principe d'Humanité: la fin de l'Humanité; 

cette forme de questionnement relève même, en terme de "raison raisonnable ",

d'une véritable imposture intellectuelle !

​

bottom of page