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 Des différentes Chartes et autres déclarations de "principe" ! 

       1789 : déclaration des droits de l'homme et du citoyen le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale française. Elle contient 17 articles.

 

       1948 : déclaration universelle des droits de l'homme par l'Assemblée générale des Nations-unies, résolution 217 A (III) du 10 décembre 1948. Elle contient 30 articles et pas de subdivision. C'est une déclaration solennelle.

 

      1950 : convention européenne des droits de l'homme signée le 4 novembre 1950 à Rome par les gouvernements membres du Conseil de l'Europe, suivis par la suite de nombreux protocoles additionnels. Entrée en vigueur de la convention le 3 septembre 1953. Référence explicite à la déclaration de 1948 : la convention est présentée comme étant les premières mesures prises dans l'optique d'assurer la garantie collective de certains des droits de la déclaration universelle. Elle contient un préambule et 66 articles répartis sur 5 titres (pas d'intitulé). Elle est consacrée spécifiquement à la garantie des droits civils et politiques et des libertés.

 

     1961 : la charte sociale européenne du Conseil de l'Europe signée le 18 octobre 1961 à Turin. Réalisée en vue de poursuivre l'œuvre entamée avec la convention européenne de 1950 mais pour garantir spécifiquement les droits sociaux, elle consacre ainsi l'idée que la garantie des droits sociaux s'inscrit bien dans l'œuvre de réalisation des droits de l'homme. Entrée en vigueur en 1965. Elle est constituée d'un préambule et de 38 articles (intitulés) répartis sur 4 parties (pas d'intitulé par partie), une première partie pointant les 19 droits sociaux primordiaux à garantir. Une Charte révisée a été adoptée en 1996 et est entrée en vigueur en 1999 : elle énonce désormais 31 droits sociaux primordiaux à garantir.

Rendre effectif ces droist, cela suppose l'engagement des États à mener une politique sociale. Il s'agit d'un traité international entre États et le respect des engagements est contrôlé par un système interne liant les États. Mais il n'y a pas de possibilité de recours individuel devant une juridiction internationale. Depuis la dernière révision, on a ajouté une procédure de réclamation collective. Mais ce n'est pas une simple déclaration solennelle, il y a une exigence pour que les gouvernements adoptent des actions déterminées en vue de rendre ces droits réellement effectifs.

 

     1989 :  la charte communautaire des droits sociaux fondamentaux des travailleurs, adoptée par 11 des 12 États membres des Communautés européennes le 9 décembre 1989 à Strasbourg. Elle est présentée comme une déclaration à mettre en œuvre toutes les possibilités de réalisation des droits sociaux contenues dans l'ordre interne communautaire défini par le Traité (tout l'Acte unique mais rien que l'Acte unique). Elle ne fait que "s'inspirer" des conventions de l'OIT et de la charte sociale de Turin. Elle comprend un préambule et deux titres qui sont ainsi définis (I : droits sociaux fondamentaux des travailleurs ; II : mise en œuvre de la charte), elle relève 12 "éléments" qui sembleraient être des droits (mais que dire de la mise sur un même pied des titres "Égalité de traitement entre les hommes et les femmes" et "Personnes âgées". Elle comporte 30 points différents qui pourraient être vus comme des articles (mais ne sont pas ainsi dénommés).

 

     2000 : la charte des droits fondamentaux de l'Union européenne proclamée comme déclaration solennelle par le Conseil européen de Nice les 6 et 7 décembre 2000.

Outre son préambule, elle est divisée en 7 chapitres distincts qui sont intitulés. De façon implicite, découle ainsi une sorte de hiérarchisation entre intitulés suivant l'ordre d'énonciation (Dignité, Libertés, Égalité, Solidarité, Citoyenneté, Justice, Dispositions générales). 54 articles sont répartis en ces 7 titres.

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Depuis une bonne décennie

tous ces ploutocrates et leurs serviles "Politichiens "

tenants du "mondialisme" se sentent pousser des ailes.   

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        En lisant tous ces texte, ces différentes "Chartes", il y a de quoi se plier en deux, pas de rire… mais de douleurs tellement la réalité de ce que nous vivons ; tellement le contraste est saisissant entre ce qui est écrit dans les textes et la réalité de ce que nous vivons !

        Le sophisme et le cynisme sont au zénith, et jamais l'arrogance n'a été aussi flagrante !

Ils savent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent et avec la bénédiction des politiciens de tout bord qui sont quasi tous mondialistes !

 

       L’Union-Européenne, désormais à vocation mondialiste (c’est ce que montre la Commissions Européenne qui se moque des libertés en réalité... voire ce qu'elle prépare en matière de pass sanitaire ), ne connait plus les peuples ni les Nations car il faut les détruire pour précisément imposer ce « mondialisme » dont elle se revendique qui ne relève de rien d’autre que  du fascisme et du nazisme !

     

       De plus en plus l'union Européenne ressemble à l'Allemagne des années 20 et 30 du siècle dernier !

Le non droit, des peuples et des personnes

à disposer d'eux-mêmes, 

relève du "fascisme" et du "nazisme" ;

                 en l'occurence et mondialisme oblige du :                        " MAZISME!  

Le non droit des peuiples et des personnes à diposre d'eux-mêmes relèven du nauisle et du fascile en l'occurence du Mazisme ! 

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